LES OBJECTIFS DU WAGON DE DALI
Posté par Erasmy , dimanche 24 novembre 2013 à 23:16
L'Evénement du Grand Palais
Le retour irrésistible de Salvador Dali
Une rétrospective Dali à 790.000 visiteurs au Centre Pompidou, suivie d’une exposition emblématique consacrée au «Surréalisme et l’Objet». Tout cela en 2013 ! On croit rêver. Voilà une nouvelle tendance inespérée, qui remet sur le devant de la scène artistique un principe essentiel, ignoré par le soi-disant «art contemporain» : l’imagination, moteur fondamental de la création artistique. Allons-nous vers des horizons nouveaux et remettre en valeur la notion de la beauté, incomparable source de plaisir ? Cette perspective prometteuse nous changerait enfin des productions ordinaires, fort ennuyeuses et sans aucun contenu culturel, qui se négocient actuellement sur le marché de l’art.
Le puissant courant rénovateur des valeurs esthétiques n’est pas fini. Il ne fait que commencer. Car il s’agit en fait d’une réaction vigoureuse de vrais artistes-peintres contre le vide affligeant de «l’art contemporain». L’arrivée prochaine du «Wagon de Dali» au Grand Palais des Champs-Elysées amènera à Paris un chargement entier de toiles inédites, figuratives, oniriques et symbolistes, réalisées par dix artistes européens, représentatifs de la peinture de l’imaginaire du XXIe siècle. Depuis le Centenaire Dali de 2004, des peintres fantastiques originaires de Paris, de Vienne, de Munich, de Prague, de Moscou et aussi de Turin et de Barcelone se sont regroupés dans un mouvement rénovateur ambitieux baptisé «Les Héritiers de Dali». Conformément aux principes consignés dans un manifeste éloquent intitulé «L’Appel de Lyon», ces artistes organisent eux-mêmes, en marge des courants mercantiles du marché, des événements mobilisateurs destinés à reconquérir le public des connaisseurs, amateurs de beaux Arts. Leur principal repère créatif reste le génial maître du Surréalisme : Salvador Dali !
Lorsque Salvador Dali a découvert en 1963 à la Gare de Perpignan le «Centre de l’Univers», il n’ imaginait pas que ce délirant concept paranoïaque-critique allait produire 50 années plus tard un irrésistible courant créatif d’inspiration surréaliste, dont le «Wagon de Dali» est devenu la plaque tournante. L’explorateur dalinien Roger Michel Erasmy avait retrouvé en 1986 près de la gare de Perpignan cet étrange fourgon iconographique, qui reste la seule référence ferroviaire du fameux tableau «Le Mystique de la Gare de Perpignan» (Dali, 1965). La transformation de ce fourgon rail-route hybride en galerie d’Art itinérante a permis de planifier dès 1995 un espace créatif, dont le rayonnement dépasse les objectifs fixés. Le fait est là, inouï. Le «plus petit espace surréaliste du monde» circule en Europe en mobilisant la presse, la télé et le grand public des amateurs d’Art. Le phénomène est troublant, mais néanmoins conforme à la vocation transcendante du génie de l’énigmatique surréaliste catalan. Dali se voulait le sauveur de la belle peinture sur toile. Il se moquait des Mondrian, Picasso et consorts, qu’il accusait d’être responsables de la laideur généralisée de l’Art moderne. Aujourd’hui, on est bien obligé de recon-naître la lucidité de ses pressentiments. En artiste clairvoyant, Dali a vu s’ébaucher la dérive du prétendu «art contemporain». Plus fort encore, Dali s’est affirmé progressivement comme un authentique visionnaire, à la fois peintre messianique et bras créatif de la divine Providence, chargé de mettre en images la conception prometteuse d’un Monde nouveau, inespéré. La crise planétaire a confirmé ces redoutables prémonitions. En l’occurrence, le tableau emblématique de 1965 constitue une œuvre majeure de l’Art divinatoire pratiqué par le divin Dali. Car le wagon-modèle constitue un exemple flagrant de son génie prophétique. Le fourgon reproduit dans cette immense œuvre ferroviaire est bardé de signes et de codes chiffrés, dont on finira par comprendre le sens prémonitoire. Il suffit de les décrypter !
Sur le plan pragmatique, le wagon de 1965 est devenu un objet surréaliste actif, bref utile, qui s’inscrit dans l’héritage constructif du peintre-prophète. Désormais le phénomène Dali s’affirme comme un guide incontournable, rail conduc-teur d’un fabuleux renouveau créatif. Pour le 50e anniversaire du «Centre de l’Univers», situé à la Gare de Perpignan, le «Wagon», antenne mobile de la mystérieuse station ferroviaire, se déplace à Paris pour être exposé en première ligne du salon Art-en-Capital avec un stupéfiant chargement artistique. Saluons le retour de la peinture de l’imaginaire.
Info : Roger Michel ERASMY, fondateur des «Héritiers de Dali» ● www.erasmy-dali.com ● 25 novembre 2013
Une rétrospective Dali à 790.000 visiteurs au Centre Pompidou, suivie d’une exposition emblématique consacrée au «Surréalisme et l’Objet». Tout cela en 2013 ! On croit rêver. Voilà une nouvelle tendance inespérée, qui remet sur le devant de la scène artistique un principe essentiel, ignoré par le soi-disant «art contemporain» : l’imagination, moteur fondamental de la création artistique. Allons-nous vers des horizons nouveaux et remettre en valeur la notion de la beauté, incomparable source de plaisir ? Cette perspective prometteuse nous changerait enfin des productions ordinaires, fort ennuyeuses et sans aucun contenu culturel, qui se négocient actuellement sur le marché de l’art.
Le puissant courant rénovateur des valeurs esthétiques n’est pas fini. Il ne fait que commencer. Car il s’agit en fait d’une réaction vigoureuse de vrais artistes-peintres contre le vide affligeant de «l’art contemporain». L’arrivée prochaine du «Wagon de Dali» au Grand Palais des Champs-Elysées amènera à Paris un chargement entier de toiles inédites, figuratives, oniriques et symbolistes, réalisées par dix artistes européens, représentatifs de la peinture de l’imaginaire du XXIe siècle. Depuis le Centenaire Dali de 2004, des peintres fantastiques originaires de Paris, de Vienne, de Munich, de Prague, de Moscou et aussi de Turin et de Barcelone se sont regroupés dans un mouvement rénovateur ambitieux baptisé «Les Héritiers de Dali». Conformément aux principes consignés dans un manifeste éloquent intitulé «L’Appel de Lyon», ces artistes organisent eux-mêmes, en marge des courants mercantiles du marché, des événements mobilisateurs destinés à reconquérir le public des connaisseurs, amateurs de beaux Arts. Leur principal repère créatif reste le génial maître du Surréalisme : Salvador Dali !
Lorsque Salvador Dali a découvert en 1963 à la Gare de Perpignan le «Centre de l’Univers», il n’ imaginait pas que ce délirant concept paranoïaque-critique allait produire 50 années plus tard un irrésistible courant créatif d’inspiration surréaliste, dont le «Wagon de Dali» est devenu la plaque tournante. L’explorateur dalinien Roger Michel Erasmy avait retrouvé en 1986 près de la gare de Perpignan cet étrange fourgon iconographique, qui reste la seule référence ferroviaire du fameux tableau «Le Mystique de la Gare de Perpignan» (Dali, 1965). La transformation de ce fourgon rail-route hybride en galerie d’Art itinérante a permis de planifier dès 1995 un espace créatif, dont le rayonnement dépasse les objectifs fixés. Le fait est là, inouï. Le «plus petit espace surréaliste du monde» circule en Europe en mobilisant la presse, la télé et le grand public des amateurs d’Art. Le phénomène est troublant, mais néanmoins conforme à la vocation transcendante du génie de l’énigmatique surréaliste catalan. Dali se voulait le sauveur de la belle peinture sur toile. Il se moquait des Mondrian, Picasso et consorts, qu’il accusait d’être responsables de la laideur généralisée de l’Art moderne. Aujourd’hui, on est bien obligé de recon-naître la lucidité de ses pressentiments. En artiste clairvoyant, Dali a vu s’ébaucher la dérive du prétendu «art contemporain». Plus fort encore, Dali s’est affirmé progressivement comme un authentique visionnaire, à la fois peintre messianique et bras créatif de la divine Providence, chargé de mettre en images la conception prometteuse d’un Monde nouveau, inespéré. La crise planétaire a confirmé ces redoutables prémonitions. En l’occurrence, le tableau emblématique de 1965 constitue une œuvre majeure de l’Art divinatoire pratiqué par le divin Dali. Car le wagon-modèle constitue un exemple flagrant de son génie prophétique. Le fourgon reproduit dans cette immense œuvre ferroviaire est bardé de signes et de codes chiffrés, dont on finira par comprendre le sens prémonitoire. Il suffit de les décrypter !
Sur le plan pragmatique, le wagon de 1965 est devenu un objet surréaliste actif, bref utile, qui s’inscrit dans l’héritage constructif du peintre-prophète. Désormais le phénomène Dali s’affirme comme un guide incontournable, rail conduc-teur d’un fabuleux renouveau créatif. Pour le 50e anniversaire du «Centre de l’Univers», situé à la Gare de Perpignan, le «Wagon», antenne mobile de la mystérieuse station ferroviaire, se déplace à Paris pour être exposé en première ligne du salon Art-en-Capital avec un stupéfiant chargement artistique. Saluons le retour de la peinture de l’imaginaire.
Info : Roger Michel ERASMY, fondateur des «Héritiers de Dali» ● www.erasmy-dali.com ● 25 novembre 2013